• Résumé : Dans un univers fantastique où des artefacts magiques, les O-Parts, ont offert aux humains des pouvoirs inimaginables, une légende court à propos d'un homme qui pourrait retourner la puissance de ces pouvoirs contre son utilisateur. Cet homme aurait un chiffre gravé sur le front... 666. Il a été surnommé Satan, ou Lucifer, de ce fait. 

    Alors ce truc, qui est à moitié hors-sujet, c’est l’introduction banale liée au 1er tome de la série, et franchement, je la trouve bien pourrie ! « Offert des pouvoirs inimaginables aux humains »…dans le tome 8 il y a un O-part qui est juste une poêle que tu active avec le spirit, genre de chakra… Y’a quoi de FORMIDABLE là-dedans ? En plus, seul une partie de la population peut se servir de ces objets spéciaux appelés O-parts (normal, sinon c’est pas marrant et trop simple :D).

    Autant dire qu’après avoir lu ça, vaut mieux tout effacer, de peur de mal juger la série sur une mauvaise 1ere impression, et lire la fiche des personnages que j’ai fait !

    Personnages : Le héros c’est Jio, 13 ans environ, vivant en Solitaire, ne vénérant que l’argent, et dont le corps renferme satan (rien de moins que sa !). Il va rencontrer Ruby, chercheuse de trésors, comme son père le fut avant elle, et devenir son garde du corps, mais c’est une tout autre relation qui va se développer au cours des tomes entres eux deux : l’amitié ! Les péripéties s’enchaînent et un troisième luron vient s’ajouter au petit groupe : Un jeune rasta dénommé Ball, que l’on pourrait qualifier « d’émulation » pour le héros, car en effet tout deux entretiennent une saine rivalité que va les aider à progresser, chacun dans leurs caractéristiques. Bien d’autres personnages, tel que Cross et Jin, qui vouent tous deux une profonde haine a l’égard de Jio, vont intervenir, tout comme Kirin/Amidamaru, anciens membres de l’armée.

    Fiche technique : prépublication japonaise dans le Shonen GanGan de Square Enix (c’est pas rien comme magazine, on y a publié Full Metal Alchemist et Soul Eater !), la série est composé de 19 tomes (aux éditions Kurokawa en France), les parutions des tomes au Japon s’étendes de 2001 à 2008, puis en France de 2005 à 2008. La série se divise en deux grandes parties (même si une troisième peut être instauré au début du tome 7) : du 1 au 13, les personnages principaux ont environ 13-15 ans, puis du 14 à la fin, ou s’effectue un saut dans le temps de quelques 4 ans.

    Auteur : Seishi Kishimoto. 8 novembre 1974. Oui, c’est bien le frère jumeau de l’auteur de Naruto, véritable phénomène en France (Masashi Kishimoto). Souvent insulté pour plagiat par les médias envers son frère, il est malgré tout parvenue a bout de ces dires et dispose enfin de son propre univers. Il a continué a publié, après 666 satan, la série Blazer Drive (dont le dessin est simplement éblouissant selon moi).

    6,75 / 10

    Critique : Dans son ensemble, c’est une série plaisante, mais il y a trop de reprises de manga sombres dans les clichés du shônen (ex : un tournoi) ce qui ne l’aide naturellement pas à se détacher du lot. Et avec un dessin dans les 6 premiers tomes très moyen, autant dire que la série, a parfois eut de la chance de ne pas s’arrêter ! Heureusement, car a partir de ce 7ème tome, le dessin vous mettra une grosse claque, l’histoire avancera vraiment, et la lecture des tomes vous procurera autant de plaisir qu’un naruto ! La next generation intervient sans véritable raison, et semble plus que déroutante, mais comme elle amène avec elle bon nombre de nouveaux skins (physique de quasiment tous les personnages, armes, attaques…), on lui pardonne sa grossièreté. Le côté combat de monstres dérangera les plus fins, car les affrontements de démons et d’anges seront parfois fatiguant à suivre, a cause de leur manque de finesse. Mais ce point se corrige en lisant les tomes achevant la série. J’ai pris beaucoup de plaisir à lire certains tomes, parfois, beaucoup moins. Et j’étais encore dans un âge relativement faible lorsque je l’ai commencé, c’est donc un sentiment tout particulier que j’ai pour la série. Seul la deuxième partie de la série convaincra les 16 et plus…

    RANDULPHE

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  • 8,75 / 10

     

    Date de sortie : 10 novembre 2010

    Résumé : Entre réconciliations et trahisons, les retournements de situations s'enchaînent dans ce nouveau tome de Soul Eater. La menace que fait peser Arachnophobia sur le monde est de plus en plus forte. Les troupes de Shibusen décident de partir à l'assaut du château d'Arachné aidées dans cette tâche par une sorcière qui a quelques comptes à régler avec la maîtresse des araignées.

    Critique : L’ennemi de mon ennemi est… mon ami. C’est sur ces paroles hautement philosophiques que le directeur de Shibuzen, Shinigami-sama, accepte une alliance avec Médusa, contre Arachnophobia, dont la gouvernante n’est autre que la sœur de cette dernière (sauf erreur de ma part) ! Une équipe constituée de quelques uns des meilleurs éléments de shibuzen, est mise en place avec un seul but : l’assassinat. Autant dire que c’est un tome plein de tensions et peu garnit de blagues qui devrait nous attendre… Que nenni, même une fois pénétrer au cœur du repère adverse, l’auteur s’accorde de nombreux « dérapages » tout simplement exquis ! On commence à étendre sérieusement le nombre de personnages dont le manga narre l’histoire. Par exemple, Ox, très amoureux de son ex-camarade Kim, dont l’identité préservée secrète vient d’exploser au grand jour dans le tome précédent : c’est une sorcière, autrement le camp ennemis ! Mais plutôt que de tirer des conclusions hâtives, nos héros préfèrent aller de l’avant et mettre au clair les choses, directement avec l’intéressée. C’est donc un tome en prévision d’un prochain, beaucoup plus tourné action, et l’ambiance reste bon enfant. Les personnalités des personnages s’entremêlent pour donner une équipe du tonerre ! L’entrée en scène d’un héros bien connu surviendra en fin de lecture, et fera monter la tension d’un cran sans nul doute. Bonne lecture !

    RANDULPHE

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  • 9 / 10

     

    Résumé : Une fois tous les dix ans, les “fugu-baleines”, de mystérieuses créatures possédant une poche venimeuse, se rendent dans les hauts-fonds afin d’y frayer. Pour mettre la main sur ces “délices des profondeurs”, Toriko, accompagné de Komatsu, décide de faire appel à un autre des quatre légendaires Gourmet Hunters : Coco, l’une des seules personnes sur Terre capable de préparer les fugu-baleines sans mourir empoisonné.

    Critique : Un deuxième tome qui satisfait largement mes attentes. En effet, Toriko est en passe de devenir l'un de mes mangas favoris! Le scénario qui promet à chaque fois une bonne dose d'aventures et le style graphique particulier mais jamais gênant de Mitsutoshi Shimabukuro sont des valeurs sûres que l'on retrouve à chaque chapitre de ce manga. De plus, j'apprécie vraiment la découverte de tous ces personnages qui ont chacun leur particularité quasi extraordinaire.
      Et puis, ce qu'il faut absolument souligner, c'est que ce manga est agréable à lire car l'auteur ne se prend jamais la tête, il nous invite juste à suivre Toriko et Komatsu à travers leurs incroyables aventures gastronomiques. Et c'est vraiment génial!
      Par contre, n'allait pas croire que ce manga est d'une débilité sans nom!!! Au contraire, si vous avez l'occasion de lire ce manga, vous aurez le loisir de constater qu'il y a des explications du niveau 1ère S tirées de la SVT (cônes au fond de l'oeil...) et de la Science-Physique (infrarouges et ultraviolets...). Bref, si vous êtes un parent et que vous visitez ce blog pour savoir quel manga acheter à votre enfant, n'hésitez pas : achetez Toriko.! C'est un savoureux mélange d'action, d'humour et de connaissances intellectuelles hors normes (j'ai un peu exagéré, je l'avoue).
      C'est donc sur cette éloge que se termine cette critique et je vous dis à la prochaine pour le troisième volet des incroyables aventures de Toriko!

    JUROLE

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  • 7,5 / 10

     

    Résumé :  Onizuka réussit à calmer la haine de Katsuragi à son égard... mais il réalise que les problèmes de la jeune fille viennent de la relation qu’elle entretient avec son père qui consacre tout son temps à son travail et la néglige. Bouleversée, Katsuragi fugue et se fait enlevée par des malfrats. Son père, pourtant préfet de police, ne fait rien pour la retrouver ! Onizuka s’active et rassemble toutes les bandes de motards pour quadriller la ville...

     

    Critique : Deuxième tome, qui se lit d’une traite avec le premier ! Néanmoins ce volume-ci s’attarde en grande partie sur la vie de la jeune Katsuragi, l’une des pensionnaires du refuge où Onizuka crèche. En effet, elle mène jusqu’alors une relation pour le moins particulière avec son père, préfet de police, la délaissant au profil de son travail. Celle-ci ne fait appelle a lui que quand elle veut «lui faire croire qu’elle est en danger». Notre ex-professeur préféré en a d’ailleurs fait les frais précédemment… mais ce ne sont pas quelques policiers sur sa route qui vont lui faire peur, et il s’efforce donc d'aider cette adolescente en pleine crise, dont les fréquentations actuelles sont plus que douteuses. Alors qu’elle traîne dans la rue, toute mélancolique par les discours d’Onizuka, elle se fait kidnapper! Toute la deuxième partie du tome s’étend sur cette événement pour le moins choquant ! Sera-t-il trop tard pour la sauver? Le préfet interviendra-t-il ? Seule la lecture vous le dira (même si c’est la manière qui importe vraiment, plutôt que l’issue ;P )
     
    Un tome intéressant, qui ne déroge pas a la formule de la série établie : quelques blagues plus ou moins lourdes, qui font toujours leur effet shonen, oblige (notamment le coup des fourmis), quelques combats rythmés, dès l’ouverture du tome, et surtout les moyens mis en place par Onizuka pour aider ces jeunes perdues… En conclusion, une bonne impression, la tension des événement se transmettra facilement au lecteur, le plongeant dans l’histoire.

    RANDULPHE

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  • 6 / 10

     

    Résumé : Les Kogarasu Maru se rendent sur le porte-avions des frères Sora pour libérer Rika. Ringo et Kururu les accompagnent, avec l'idée de terminer les Regalia des Tempêtes sur place. Chacun des membres des Kogarasu Maru se retrouve rapidement face à son adversaire. Ikki contre Nué, Agito contre Arthur, Buccha contre Orca... Kazu, lui, a disparu !              

    Critique : Pour ce trentième opus de la saga Air Gear, il faut avouer que j'ai été plutôt déçu.
      En fait, dans la première partie du manga, j'ai été exaspéré par le fait que l'esprit terriblement obsédé de Oh!Great se fasse ressentir autant. Je me demandais juste pourquoi j'étais en train de lire ce manga!
      Dans la deuxième partie, lorsque j'ai retrouvé mes personnages préférés et que le scénario s'est remis en marche avec un minimu de sérieux, j'ai ressenti un grand soulagement.
      Mais le vrai problème de cet épisode crucial de la série - bien qu'il soit palpitant - est que l'auteur délaisse la part de poésie qu'il nous réservé d'habitude au profit d'obscures dessins de plus en plus violents.
      Sinon, il y a tout de même une agréable surprise à la fin : une histoire courte légère et poétique qui m'a à moitié enlevé le goût amer qui m'était resté en bouche.
      Voilà pour cette courte critique plutôt négative ... tout ça pour dire que le 31ème tome a intérêt à être mieux!!!

    JUROLE

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