• 8,75 / 10

     

    Date de sortie : 10 novembre 2010

    Résumé : Entre réconciliations et trahisons, les retournements de situations s'enchaînent dans ce nouveau tome de Soul Eater. La menace que fait peser Arachnophobia sur le monde est de plus en plus forte. Les troupes de Shibusen décident de partir à l'assaut du château d'Arachné aidées dans cette tâche par une sorcière qui a quelques comptes à régler avec la maîtresse des araignées.

    Critique : L’ennemi de mon ennemi est… mon ami. C’est sur ces paroles hautement philosophiques que le directeur de Shibuzen, Shinigami-sama, accepte une alliance avec Médusa, contre Arachnophobia, dont la gouvernante n’est autre que la sœur de cette dernière (sauf erreur de ma part) ! Une équipe constituée de quelques uns des meilleurs éléments de shibuzen, est mise en place avec un seul but : l’assassinat. Autant dire que c’est un tome plein de tensions et peu garnit de blagues qui devrait nous attendre… Que nenni, même une fois pénétrer au cœur du repère adverse, l’auteur s’accorde de nombreux « dérapages » tout simplement exquis ! On commence à étendre sérieusement le nombre de personnages dont le manga narre l’histoire. Par exemple, Ox, très amoureux de son ex-camarade Kim, dont l’identité préservée secrète vient d’exploser au grand jour dans le tome précédent : c’est une sorcière, autrement le camp ennemis ! Mais plutôt que de tirer des conclusions hâtives, nos héros préfèrent aller de l’avant et mettre au clair les choses, directement avec l’intéressée. C’est donc un tome en prévision d’un prochain, beaucoup plus tourné action, et l’ambiance reste bon enfant. Les personnalités des personnages s’entremêlent pour donner une équipe du tonerre ! L’entrée en scène d’un héros bien connu surviendra en fin de lecture, et fera monter la tension d’un cran sans nul doute. Bonne lecture !

    RANDULPHE

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  • 9 / 10

     

    Résumé : Une fois tous les dix ans, les “fugu-baleines”, de mystérieuses créatures possédant une poche venimeuse, se rendent dans les hauts-fonds afin d’y frayer. Pour mettre la main sur ces “délices des profondeurs”, Toriko, accompagné de Komatsu, décide de faire appel à un autre des quatre légendaires Gourmet Hunters : Coco, l’une des seules personnes sur Terre capable de préparer les fugu-baleines sans mourir empoisonné.

    Critique : Un deuxième tome qui satisfait largement mes attentes. En effet, Toriko est en passe de devenir l'un de mes mangas favoris! Le scénario qui promet à chaque fois une bonne dose d'aventures et le style graphique particulier mais jamais gênant de Mitsutoshi Shimabukuro sont des valeurs sûres que l'on retrouve à chaque chapitre de ce manga. De plus, j'apprécie vraiment la découverte de tous ces personnages qui ont chacun leur particularité quasi extraordinaire.
      Et puis, ce qu'il faut absolument souligner, c'est que ce manga est agréable à lire car l'auteur ne se prend jamais la tête, il nous invite juste à suivre Toriko et Komatsu à travers leurs incroyables aventures gastronomiques. Et c'est vraiment génial!
      Par contre, n'allait pas croire que ce manga est d'une débilité sans nom!!! Au contraire, si vous avez l'occasion de lire ce manga, vous aurez le loisir de constater qu'il y a des explications du niveau 1ère S tirées de la SVT (cônes au fond de l'oeil...) et de la Science-Physique (infrarouges et ultraviolets...). Bref, si vous êtes un parent et que vous visitez ce blog pour savoir quel manga acheter à votre enfant, n'hésitez pas : achetez Toriko.! C'est un savoureux mélange d'action, d'humour et de connaissances intellectuelles hors normes (j'ai un peu exagéré, je l'avoue).
      C'est donc sur cette éloge que se termine cette critique et je vous dis à la prochaine pour le troisième volet des incroyables aventures de Toriko!

    JUROLE

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  • 7,5 / 10

     

    Résumé :  Onizuka réussit à calmer la haine de Katsuragi à son égard... mais il réalise que les problèmes de la jeune fille viennent de la relation qu’elle entretient avec son père qui consacre tout son temps à son travail et la néglige. Bouleversée, Katsuragi fugue et se fait enlevée par des malfrats. Son père, pourtant préfet de police, ne fait rien pour la retrouver ! Onizuka s’active et rassemble toutes les bandes de motards pour quadriller la ville...

     

    Critique : Deuxième tome, qui se lit d’une traite avec le premier ! Néanmoins ce volume-ci s’attarde en grande partie sur la vie de la jeune Katsuragi, l’une des pensionnaires du refuge où Onizuka crèche. En effet, elle mène jusqu’alors une relation pour le moins particulière avec son père, préfet de police, la délaissant au profil de son travail. Celle-ci ne fait appelle a lui que quand elle veut «lui faire croire qu’elle est en danger». Notre ex-professeur préféré en a d’ailleurs fait les frais précédemment… mais ce ne sont pas quelques policiers sur sa route qui vont lui faire peur, et il s’efforce donc d'aider cette adolescente en pleine crise, dont les fréquentations actuelles sont plus que douteuses. Alors qu’elle traîne dans la rue, toute mélancolique par les discours d’Onizuka, elle se fait kidnapper! Toute la deuxième partie du tome s’étend sur cette événement pour le moins choquant ! Sera-t-il trop tard pour la sauver? Le préfet interviendra-t-il ? Seule la lecture vous le dira (même si c’est la manière qui importe vraiment, plutôt que l’issue ;P )
     
    Un tome intéressant, qui ne déroge pas a la formule de la série établie : quelques blagues plus ou moins lourdes, qui font toujours leur effet shonen, oblige (notamment le coup des fourmis), quelques combats rythmés, dès l’ouverture du tome, et surtout les moyens mis en place par Onizuka pour aider ces jeunes perdues… En conclusion, une bonne impression, la tension des événement se transmettra facilement au lecteur, le plongeant dans l’histoire.

    RANDULPHE

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  • 6 / 10

     

    Résumé : Les Kogarasu Maru se rendent sur le porte-avions des frères Sora pour libérer Rika. Ringo et Kururu les accompagnent, avec l'idée de terminer les Regalia des Tempêtes sur place. Chacun des membres des Kogarasu Maru se retrouve rapidement face à son adversaire. Ikki contre Nué, Agito contre Arthur, Buccha contre Orca... Kazu, lui, a disparu !              

    Critique : Pour ce trentième opus de la saga Air Gear, il faut avouer que j'ai été plutôt déçu.
      En fait, dans la première partie du manga, j'ai été exaspéré par le fait que l'esprit terriblement obsédé de Oh!Great se fasse ressentir autant. Je me demandais juste pourquoi j'étais en train de lire ce manga!
      Dans la deuxième partie, lorsque j'ai retrouvé mes personnages préférés et que le scénario s'est remis en marche avec un minimu de sérieux, j'ai ressenti un grand soulagement.
      Mais le vrai problème de cet épisode crucial de la série - bien qu'il soit palpitant - est que l'auteur délaisse la part de poésie qu'il nous réservé d'habitude au profit d'obscures dessins de plus en plus violents.
      Sinon, il y a tout de même une agréable surprise à la fin : une histoire courte légère et poétique qui m'a à moitié enlevé le goût amer qui m'était resté en bouche.
      Voilà pour cette courte critique plutôt négative ... tout ça pour dire que le 31ème tome a intérêt à être mieux!!!

    JUROLE

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  • Résumé : Lycéen timide et souffre-douleur rêvé pour les bourreaux qui lui servent de camarades de classe, Ippo Makunouchi a pris l'habitude de subir chaque jour diverses humiliations physiques et morales. Le jeune homme, qui occupe tout son temps libre à venir en aide à sa mère au magasin de pêche familial, n'a guère le temps de se faire des amis. Le jour où il rencontre un boxeur du nom de Mamoru Takamura qui le sauve des poings d'une bande de voyous, il se prend d'admiration pour son sauveur et ses aptitudes au combat. Consumé par son désir de devenir fort et de pouvoir enfin faire face à un quotidien qui lui échappe, Ippo se lance corps et âme dans sa nouvelle raison de vivre : la boxe.

    Autres informations : Publié depuis le 17 février 1990 par Kōdansha dans le Weekly Shonen Magazine, il comprend à l'heure actuelle plus de 80 tomes. et est édité dans les pays francophones par Kurokawa sous le titre "Ippo – La Rage de vaincre" depuis le 13 septembre 2007. Ippo est également imprimé par Haksanpub en Corée du Sud et Level Comics en Indonésie.

    Concernant l'animé : Les 30 premiers tomes du manga ont été couverts en un anime de 76 épisodes, celui-ci a été réalisé par Madhouse et diffusé sur Nippon Television entre octobre 2000 et mars 2002. En 2003, un film et une OAV ont vu pareillement le jour s’inscrivant dans la continuité scénaristique de l’adaptation (jusqu'au chapitre 314 du tome 35). La 1ère saison avait été licenciée par Rouge Citron Production alias Kero Video en France mais suite à une faillite de la société, les droits ont été rachetés par Déclic Images. Geneon (branche d'Universal) s'occupe de la version américaine et canadienne.
      Une nouvelle saison a débuté le 7 janvier 2009 au Japon et est toujours en cours actuellement.

    Récompenses : 
    - Japon 1991 : Prix du manga Kōdansha, catégorie shonen.
    - Suisse 2008 : Prix Polymanga, trophée du meilleur shonen manga (ci-joint, la photo du prix remis aux éditions Kurokawa).

    Signification du titre : Hajime No Ippo est un jeu de mots, puisqu'il y a en fait 2 sens : Hajime veut dire "commencer" ou "démarrer", et "Ippo" est à la fois le nom du héros et le mot "pas".
      On peut donc traduire par "Ippo le débutant", "Ippo le challenger" (comme l'avait fait Kero Video) ou alors plus littéralement par "Le pas du commencement/du début", "Le premier pas" ("The First Step" étant le titre qu'a choisi l'éditeur Geneon). Les choix des différents éditeurs permettent de remarquer la difficulté de traduire le titre en français ou en anglais. C'est un jeu de mots typiquement japonais.

    Source : http://www.hajime-no-ippo.net/

    8 / 10

     Critique : Dans ce manga où les combats de boxe s'enchaînent, le héros noue des relations d'amitié avec chacun de ses adversaires. On pourrait penser que ce manga devient lassant à force de combat ... mais non puisqu'à travers les péripéties de Ippo, nous suivons aussi l'histoire et la vie, très touchantes, de ses adversaires. On voit bien plus loin que les combats et les coups : derrière les hommes qui donnent ces coups, on découvre toute leur humanité, les moments difficiles que tous ont eu à traverser.
      Le gamin qui se faisait battre devient progressivement un jeune homme endurant et persévérant qui n'abandonne jamais ! On admire son courage et sa force!
      Pour ma part j'ai beaucoup aimé ce manga mais est cependant préféré le rendu de l'animé.

    KAWAILY

     

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