• 9 / 10

     

    Résumé : Une fois tous les dix ans, les “fugu-baleines”, de mystérieuses créatures possédant une poche venimeuse, se rendent dans les hauts-fonds afin d’y frayer. Pour mettre la main sur ces “délices des profondeurs”, Toriko, accompagné de Komatsu, décide de faire appel à un autre des quatre légendaires Gourmet Hunters : Coco, l’une des seules personnes sur Terre capable de préparer les fugu-baleines sans mourir empoisonné.

    Critique : Un deuxième tome qui satisfait largement mes attentes. En effet, Toriko est en passe de devenir l'un de mes mangas favoris! Le scénario qui promet à chaque fois une bonne dose d'aventures et le style graphique particulier mais jamais gênant de Mitsutoshi Shimabukuro sont des valeurs sûres que l'on retrouve à chaque chapitre de ce manga. De plus, j'apprécie vraiment la découverte de tous ces personnages qui ont chacun leur particularité quasi extraordinaire.
      Et puis, ce qu'il faut absolument souligner, c'est que ce manga est agréable à lire car l'auteur ne se prend jamais la tête, il nous invite juste à suivre Toriko et Komatsu à travers leurs incroyables aventures gastronomiques. Et c'est vraiment génial!
      Par contre, n'allait pas croire que ce manga est d'une débilité sans nom!!! Au contraire, si vous avez l'occasion de lire ce manga, vous aurez le loisir de constater qu'il y a des explications du niveau 1ère S tirées de la SVT (cônes au fond de l'oeil...) et de la Science-Physique (infrarouges et ultraviolets...). Bref, si vous êtes un parent et que vous visitez ce blog pour savoir quel manga acheter à votre enfant, n'hésitez pas : achetez Toriko.! C'est un savoureux mélange d'action, d'humour et de connaissances intellectuelles hors normes (j'ai un peu exagéré, je l'avoue).
      C'est donc sur cette éloge que se termine cette critique et je vous dis à la prochaine pour le troisième volet des incroyables aventures de Toriko!

    JUROLE

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  • 7,5 / 10

     

    Résumé :  Onizuka réussit à calmer la haine de Katsuragi à son égard... mais il réalise que les problèmes de la jeune fille viennent de la relation qu’elle entretient avec son père qui consacre tout son temps à son travail et la néglige. Bouleversée, Katsuragi fugue et se fait enlevée par des malfrats. Son père, pourtant préfet de police, ne fait rien pour la retrouver ! Onizuka s’active et rassemble toutes les bandes de motards pour quadriller la ville...

     

    Critique : Deuxième tome, qui se lit d’une traite avec le premier ! Néanmoins ce volume-ci s’attarde en grande partie sur la vie de la jeune Katsuragi, l’une des pensionnaires du refuge où Onizuka crèche. En effet, elle mène jusqu’alors une relation pour le moins particulière avec son père, préfet de police, la délaissant au profil de son travail. Celle-ci ne fait appelle a lui que quand elle veut «lui faire croire qu’elle est en danger». Notre ex-professeur préféré en a d’ailleurs fait les frais précédemment… mais ce ne sont pas quelques policiers sur sa route qui vont lui faire peur, et il s’efforce donc d'aider cette adolescente en pleine crise, dont les fréquentations actuelles sont plus que douteuses. Alors qu’elle traîne dans la rue, toute mélancolique par les discours d’Onizuka, elle se fait kidnapper! Toute la deuxième partie du tome s’étend sur cette événement pour le moins choquant ! Sera-t-il trop tard pour la sauver? Le préfet interviendra-t-il ? Seule la lecture vous le dira (même si c’est la manière qui importe vraiment, plutôt que l’issue ;P )
     
    Un tome intéressant, qui ne déroge pas a la formule de la série établie : quelques blagues plus ou moins lourdes, qui font toujours leur effet shonen, oblige (notamment le coup des fourmis), quelques combats rythmés, dès l’ouverture du tome, et surtout les moyens mis en place par Onizuka pour aider ces jeunes perdues… En conclusion, une bonne impression, la tension des événement se transmettra facilement au lecteur, le plongeant dans l’histoire.

    RANDULPHE

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  • 6 / 10

     

    Résumé : Les Kogarasu Maru se rendent sur le porte-avions des frères Sora pour libérer Rika. Ringo et Kururu les accompagnent, avec l'idée de terminer les Regalia des Tempêtes sur place. Chacun des membres des Kogarasu Maru se retrouve rapidement face à son adversaire. Ikki contre Nué, Agito contre Arthur, Buccha contre Orca... Kazu, lui, a disparu !              

    Critique : Pour ce trentième opus de la saga Air Gear, il faut avouer que j'ai été plutôt déçu.
      En fait, dans la première partie du manga, j'ai été exaspéré par le fait que l'esprit terriblement obsédé de Oh!Great se fasse ressentir autant. Je me demandais juste pourquoi j'étais en train de lire ce manga!
      Dans la deuxième partie, lorsque j'ai retrouvé mes personnages préférés et que le scénario s'est remis en marche avec un minimu de sérieux, j'ai ressenti un grand soulagement.
      Mais le vrai problème de cet épisode crucial de la série - bien qu'il soit palpitant - est que l'auteur délaisse la part de poésie qu'il nous réservé d'habitude au profit d'obscures dessins de plus en plus violents.
      Sinon, il y a tout de même une agréable surprise à la fin : une histoire courte légère et poétique qui m'a à moitié enlevé le goût amer qui m'était resté en bouche.
      Voilà pour cette courte critique plutôt négative ... tout ça pour dire que le 31ème tome a intérêt à être mieux!!!

    JUROLE

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  • 8 / 10

     

    Résumé :  Natsu, Wendy, Happy et Carla découvrent que la guilde de Fairy Tail où ils ont atterri n’est pas la leur mais son équivalent dans le monde parallèle d’Edolas. Dans ce monde, la magie est strictement limitée et où les guildes de magiciens ont été pourchassées par l’Armée royale. Pire encore, les habitants de Magnoria, y compris les membres de Fairy Tail, ont été absorbés dans un cristal géant censé fournir une source de magie inépuisable pour Edolas…

    Critique : Ce tome représente pour la série Fairy Tail un grand tournant! Vous allez découvrir une floppée de nouveaux personnages, de révélations, de rebondissements... Bref, tout ce que l'on adore dans Fairy Tail! Et puis, vous allez aussi être imergés dans un nouveau monde, ce qui n'est pas rien!
      Donc, concernant le scénario : il est très bien mené et nous promet un avenir radieux pour la série.
      Concernant le dessin : on retrouve le style propre à Hiro Mashima qui malgré ses imperfections a su séduire grand nombre de lecteurs de mangas. Personnellement, je lis toutes sortes de mangas : du manga sérieux et très réaliste au manga complètement imaginaire et délirant comme Fairy Tail.
      Ce que l'on peut reprocher à l'auteur est que ce manga est parfois trop enfantin. Mais, après tout, on ne vous force pas à le lire alors on ne peut pas appeler ça un reproche!
      Ayant 16 ans, j'ai faillit décrocher de ce manga lorsque je me suis ouvert à tous les autres styles, mais je me suis rendu compte à quel point il est bon de retourner à des mangas qui ne se prennent pas la tête et qui participent à l'imaginaire.
      Voilà pour la déclaration de mes états d'âmes. Maintenant, c'est à vous de réagir!
      A bientôt!

    JUROLE

     

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  • 9,25 / 10

    Bakuman tome 8

     

    Résumé : Saikô et Shûjin travaillent activement sur leur histoire courte comique qui doit déboucher sur une série. Ils ont besoin de faire un bon résultat afin d'atteindre leur objectif, mais qu'en sera-t-il vraiment ?! Parallèlement, les retrouvailles fortuites avec Iwase viennent troubler la relation entre Shûjin et Miyoshi !!

    Critique : Encore une fois, ce manga m'épate. Je pense que j'aime ce manga car on voit que le scénario est très bien tourné et réfléchi et que le dessin y est parfaitement adapté. A chaque fois je le dis mais je ne me lasses pas de le répéter : comment les auteurs font-ils pour nous tenir en haleine avec un sujet qui pourrait être tellement peu intéressant?! Enfin bref, je crois avoir percé leur secret : ils jouent de la double facette de leurs deux personnages principaux, c'est-à-dire leur double vie de mangakas et de lycéens à la fois. Et puis, ils rajoutent des histoires de coeur et jouent sur la fragilité de cet équilibre pour créer des rebondissements considérables.
      Mais ce qu'il faut remarquer aussi, c'est l'incroyable palette de personnages tous plus atypiques les uns que les autres que nous offrent à suivre ce duo de talentueux mangakas qui nous ont déjà bluffé avec leur série Death Note.
      Et puis, pour tout fan de manga, entrer dans le monde des mangakas est plutôt plaisant même si on est pas dupes et que l'on sait que toute la vérité n'est pas dite. En tout cas, l'histoire reste étonnemment réaliste et palpitante!

    JUROLE

     

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